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Rixes: votre qu’il faut Realiser pour aider notre jeunesse a rompre le cycle une violence

Rixes: votre qu’il faut Realiser pour aider notre jeunesse a rompre le cycle une violence

Faire face aux phenomenes de bandes et a la violence dans notre jeunesse reclame d’accompagner les jeunes sur plusieurs plans a Notre fois de facon ferme mais aussi bienveillante.

Depuis le debut de l’annee, Yuriy, Lillibelle, Toumani, Alisha, l’ensemble de 4 ages de 13 a 14 annees, ont ete violemment agresses, voire tues pour une rivalite de bande, une rivalite amoureuse, un regard de travers, des insultes ou des menaces… Et avant eux, tant d’autres. Leurs agresseurs ou meurtriers presumes paraissent ages de 13 a 17 resilier abonnement angelreturn annees. Perdre la vie a l’adolescence, pour une broutille, tue via un nouvelle adolescent: une telle realite inacceptable est celle de diverses enfants chaque annee dans notre pays. Elle est inacceptable, et nous ne pouvons nous resoudre a ce qu’elle devienne banalite.

Paris, la petite, la grande couronne, des quartiers prioritaires comme des quartiers residentiels -et encore recemment le 16eme arrondissement d’la capitale-: cette violence ne distingue nullement. Elle va s’installer a bas bruit ou surgir partout, dans notre Region, et frappe des enfants En plus et puis jeunes.

De multiples jeunes, livres a eux-memes, adoptent des comportements a risque, addictifs, voire morbides.

De tous temps libre, nos rixes entre bandes et rivalites entre jeunes ont existe, mais leur pregnance aujourd’hui, l’age Sans compter que en plus precoce des actes des plus violents, subis ou commis, est en mesure de laisser pantois. Comment les rixes entre bandes ont-elles pu se developper a ce point? Comment une societe en reste arrivee a ne plus abriter ses enfants -et a les couvrir d’eux-memes? Quelle est l’incidence des reseaux sociaux via la propagation de cette violence inouie et gratuite? Quelles paraissent les reponses des plusieurs politiques menees i  l’occasion des dernieres annees puisque le probleme n’est jamais nouveau? Quelles seront les mesures a prendre? Et dans quels domaines?

Mes reponses a ces questions sont complexes.

Proportionner des actions educatives, les mesures coercitives et les placements, reguler les reseaux sociaux reclame une concertation serieuse au milieu des elus locaux, les associations de parents, nos travailleurs sociaux intervenant au quotidien aupres des jeunes, des infirmieres scolaires, les specialistes de l’enfance…

Le manque d’autorite des parents, immediatement fustiges par le ministre de l’Interieur, s’il y a des fois, ne suffira gui?re a expliquer l’ampleur des drames qui se produisent. Ces parents que l’on designe a J’ai vindicte, n’aiment pas moins leurs bambins que d’autres parents et ne sont gui?re moins ecrases de douleur que d’autres parents perdant un fils ou une fille. Meres et peres d’agresseurs ou de meurtriers, ils ne sont nullement plus indifferents au sort de leur enfant.

Notre reponse du gouvernement, consistant a deployer, de facon temporaire, une centaine de policiers nationaux en Essonne, apres que diverses adolescents y ont ete recemment tues dans des rixes, ne suffira pas a empecher des jeunes de se provoquer via les reseaux sociaux, puis d’aller defier une bande adverse sur une piscine, a mi-chemin de deux “territoires”.

Quant a l’action de l’actuelle Region Ile-de-France, elle n’est jamais plus a Notre hauteur de la situation.

L’essor d’une videosurveillance devant les lycees et le deploiement de 8 “Brigades Regionales de Securite”, soit 40 agents Afin de 462 lycees, destinees d’apri?s Valerie Pecresse a “pacifier” ces etablissements scolaires, n’a qu’un effet tres marginal. D’autant que ces brigades seront “appelees a la rescousse avec les proviseurs quand la tension monte”, c’est-a-dire lorsqu’il est deja trop tard.

L’armement de la police municipale, a laquelle on demande En plus outre remplir des missions de police nationale, n’evitera gui?re, en amont, l’entree d’la violence dans l’existence et la tete des jeunes.

L’armement d’la police municipale, a laquelle on demande De surcroit en plus de remplir des missions de police nationale, n’evitera nullement l’entree en violence dans le quotidien et la tete de ces jeunes.

Cela nous faut une action multiple et coordonnee. Cela nous faut reaffirmer et concretiser notre attachement a 4 piliers constitutifs en securite de proximite, que devra accompagner la Region Ile-de-France:

– la prevention a travers en particulier la systematisation d’la mediation et une meilleure apprehension des signaux faibles, des mobilisations via nos reseaux sociaux, ou le truchement de messageries de jeux videos. Nous soutiendrons, en complementarite des autres collectivites, en lien avec l’Education nationale, la protection de l’enfance (surtout la prevention specialisee), les ecoles de mediateurs et du numerique pour former des specialistes qui agiront de maniere coordonnee dans chacun des lycees franciliens.

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